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Test de Personnalité (33)
La Musique rachète l'Homme (6)
La tendresse de ma mère (5)
3. Et pourtant je l'aime (5)
L'histoire sera courte (1) (8)

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Vendredi (02/05/03)

Liens


Voici la liste de tous les liens qui ont agrémenté mes articles depuis le début, regroupés en une seule page. J'espère n'avoir oublié personne :

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Ecrit par Grezel, a 17:05 dans la rubrique "Divers".


Mardi (22/04/03)

Archives


 

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Ecrit par Grezel, a 11:04 dans la rubrique "Divers".


Dimanche (16/03/03)

Au hasard d'un simple clic


À la suite de mes errements -égarement - sur le Net, j'ai découvert les pages scannées du magazine Biba de Novembre. Rappelez-vous, Biba, c'était ce mensuel qui avait consacré un article aux jouebs. On m'avait prévenu que j'étais cité brièvement, avec extraits de mon joueb à l'appui. Je viens donc de retrouver l'article au format image sur le joueb de bingirl dans le post datant du 22 Novembre 2002. Quant à mon apparition sus-dite, vous la trouverez précisément ici.
C'est donc avec un certain retard que je vous fais parvenir l'article. À aucun endroit l'adresse de mon joueb n'est précisée, et c'est somme toute une bonne chose. Je préfère me limiter à un lectorat restreint, mais fidèle - sic.

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Ecrit par Grezel, a 14:03 dans la rubrique "Divers".


Vendredi (28/02/03)

La peur, c'est ce qui reste lorsqu'on a tout perdu


Dans mon désir de traiter en ces pages de sujets que je n’ai jamais abordés – trop tabous ? – j’aimerais parler d’une période que j’ai souhaitée garder cachée jusqu’à aujourd’hui. Lorsque je suis rentré chez ma grand-mère à midi, j’ai vu une poubelle en train de brûler dans une rue, et à ses côtés, un adolescent, nous narguant, comme fier de son acte de vandalisme. Lorsque je suis repassé plusieurs heures plus tard, les cendres étaient encore chaudes. Cet acte délinquant est bénin, évidemment, mais il me replonge dans tout un état d’esprit qui semblait m’avoir quitté. Je me trompais. À chaque fois que je traverse ce quartier, le quartier de mon ancien collège, je ne peux m’empêcher d’avoir peur. J’ai peur des monstres de mon passé. J’écrivais déjà au collège, mais je n’ai pour autant jamais traité de l’état du mauvais esprit au milieu duquel nous pataugions. Je dis en ces pages beaucoup moins de choses qu’il ne faudrait pour véritablement me comprendre.
Car la délinquance, l’insécurité à laquelle j’étais confrontée, sont des sujets difficiles à traiter. Je n’aurais pu en parler avant aujourd’hui, étant trop jeune auparavant. Et même maintenant, je me dis que je n’ai peut-être pas encore le recul nécessaire pour juger, me faire une opinion. Mais tant pis, essayons, avec l’expérience propre que j'ai eue durant quatre ans.
Le collège. Mon collège. Un établissement, difficile, classé en zone d’éducation prioritaire. Chaque jour, chaque jour ! Je m’y rendais la peur au ventre, en me demandant ce qu’aujourd’hui encore, il pourrait bien m’arriver. J’avais pourtant tout vu. Un jour, un collégien de mon âge m’avait agressé avec un pistolet. À billes, factice, ou autre, je n’aurais pu dire. Pourtant, je l’ai vu de près. De trop près. Planté sous mon cou. Puis un copain de mon agresseur surgit en criant qu’un adulte arrivait. Ils s’enfuirent alors à toute vitesse. Courageux mais pas trop.
Toujours au collège. Je m’y rendais du moins. Surgit alors un garçon sur un vélo. Avec le temps, je m’étais forgé une sorte de nouveau sens. Je sentais les personnes qui m’étaient hostiles. Je le sentais à des kilomètres. Une fois encore mon instinct ne me trahit pas. Le garçon freina brusquement devant moi et descendit de son vélo en le jetant sur le côté. Il s’approcha et me tint par le col en disant :
« Hé petit, file-moi ton sac. »
Il faisait deux têtes de moins que moi. Mais ce qui me frappait en lui était son regard halluciné, déterminé. Des cernes lui mangeaient le visage. Ébahi, je ne cessai de répéter :
« Tu es fou. Tu es fou…
- Ouais, je suis fou. »
Et il ricanait. Riait jaune. La situation aurait pu durer. D’ailleurs, elle me sembla durer une éternité. Puis un copain à lui, encore une fois, arriva, et lui dit d’un air gêné, peut-être honteux :
« Allez, viens… »
Et finalement le garçon me lâcha, et il repartit comme il était venu. Comme une broutille. La routine. Deux fois, une personne tierce m’avait sauvé. Ce n’est pas toujours le cas. En principe, la notion de groupe produisait l’effet inverse. À plusieurs, on se sent plus fort. Il nous pousse des ailes. Et on éprouve sans cesse le besoin d’impressionner ses pairs. Et c’était sûrement là le pire. Je ne sais combien de couteaux j’ai pu voir dans ma scolarité. Un bon nombre. Mais je ne pourrais raconter toutes ces anecdotes. Il y en a trop. C’était, pour tout dire, l’atmosphère qui régnait. La peur qui nous tenait le ventre, dans ce monde quasiment inconnu des adultes.
Pendant les récréations, il arrivait qu’on reçoive des pierres, parfois des crachats. Pour nous rappeler que nous n’étions pas à notre place. Lorsqu’on rentrait en cours et qu’on grimpait les escaliers dans le tumulte ambiant, des personnes derrière nous nous donnaient des claques sur la tête, et lorsqu’on se retournait pour demander qui était celui qui nous avait frappé, chacun en reportait la faute sur son voisin en ricanant. Certains, parfois, ne se cachaient même pas d’être les fautifs. Mais on n’y pouvait rien. On ne pouvait jamais rien. On devait subir, passivement. Car on ne connaissait pas les limites. Et c’est justement ce qui fait peur. Après cette notion succède la douleur.
Lorsqu’on sortait du collège, les règlements intérieurs de l’établissement n’avaient plus cours, et les quelques personnes qui restaient freinées par ces lois dans l’enceinte, s’en donnaient à cœur joie à peine la porte franchie en sens inverse. Dans la rue, aucune législation n’est effective. Alors les scooters pétaradaient, avec trois personnes dessus, sans casque. Des fumigènes furent lancés une fois. Et comme d’habitude, on subit, en toussant et crachant nos poumons. Et le pire était peut-être que l’on trouvait une sorte d’humour là-dedans. Et on souriait. De résignation. Car pas question de se rebeller, ou l’affaire prenait des proportions autres. Un jour où un de mes camarades avait tenté une vaine révolte après s’être reçu des gifles lâches, par derrière, comme toujours, il vit arriver le lendemain le grand frère de son agresseur, et mon camarade se fit frapper. En subissant. Passivement. Car il avait compris la règle qui régissait le collège. Ne jamais intervenir. Jamais. Attendre que ça passe…
Et c’est passé. Quatre années. Quatre longues années. On en sort endurci, évidemment. Mais est-ce vraiment nécessaire ? Il y a des souvenirs douloureux sur le coup dont on parle ensuite avec nostalgie, quelques années plus tard. Mais de ces quatre années, je n’en parle qu’avec fatalisme. Résignation. Et si j’ai tant tardé à en parler, c’est que les mots me manquaient. Cerné par cette peur sourde et muette qui vous tenaille et ne vous lâche plus. Parler de cette autre réalité, de violences et de jours sombres. Heureusement, dans l’adversité, j’étais resté solidaire de mes amis. Il me restait ça. Tiens, je me rends compte que je n’ai pas encore parlé de mon professeur qui fut un jour frappé et mis à terre devant nos yeux. Mais vous aurez compris de vous-même. Alors désormais, au lieu de parler de racket avec votre fils, parlez-lui plutôt de cette peur tenace qui lui serre le ventre chaque fois qu’il va au collège. Il comprendra.

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Ecrit par Grezel, a 11:02 dans la rubrique "Divers".


Samedi (14/12/02)

Il pleut dans nos coeurs


Une classe à problèmes, disait-on. Quelques petits caïds semblaient avoir une main-mise sur le reste de leurs camarades. Un vrai baril de poudre, cette classe. Une allumette a suffi à tout faire exploser. Un professeur. Plus coriace que les autres, semblait-t-il. Il s'opposa à eux. La sentence tomba : ils le pousseraient au suicide. La menace avait été claire, formulée. Le mal fut peut-être de ne pas les prendre au sérieux. La fin de l'année scolaire arriva. Chacun repartit de son côté. Certains avec plus d'amertume que d'autres. On dit que la vengeance est un plat qui se mange froid. Ils appliquèrent à la lettre cette formule...
Peu de temps après, alors que cette histoire semblait être oubliée de tous, des filles de l'ancienne classe se présentèrent à l'administration de leur lycée. Leur plainte était claire : un professeur leur avait fait des propositions déplacées. Ce même professeur... Porter plainte pour harcèlement sexuel ? Hors de question, le faux témoignage était préhensible de fortes peines.
C'était il y a environ cinq ans de cela, à une époque où l'administration était tatillonne sur cet épineux sujet. Sans autre forme de procès, le professeur fut remercié, et fut invité à prendre ses affaires et à quitter son poste. Définitivement.
Il ne porta pas plainte, s'attendant à ce que l'administration le soutienne. Rien à faire. Alors l'ancien professeur entama une grève de la faim. Toujours rien...
Quelques temps après son éviction pourtant, des élèves de l'ancienne poudrière étaient allés voir ses collègues, et avaient avoué que cette histoire avait été inventée de toutes pièces, que le harcèlement n'avait jamais eu lieu, que c'était pure méchanceté, qu'ils le regrettaient, et tout le reste. Mais la machine était lancée, et la marche-arrière n'était plus possible.
La semaine dernière, nous avons appris son suicide. Une flamme qui s'éteint... Finalement, ses anciens élèves avaient atteint leur objectif. Mais d'eux, l'histoire ne parle pas. Quelque part en France, ces nouveaux adultes "responsables", citoyens, coulent des jours heureux alors qu'ils ont, dans leur adolescence, ruiné la vie d'un homme, d'une famille, de ses proches. Sont-ils contents ? Ont-ils atteint leur objectif ? Qu'est-ce que cela fait d'avoir du sang sur les mains ? Non, ils n'auront pas à répondre à ces questions, car ils ne seront jamais inquiétés.
De leur côté, les anciens collègues du professeur réunissent un dossier afin de se constituer partie civile, afin de réouvrir l'affaire. Pour laver son honneur...
Toi, petite fille de quatre ans que ton père a laissée... Il est encore trop tôt pour que tu comprennes. Mais n'écoute pas ce que les ragots disent de ton père. Sache juste que... C'était une classe à problèmes, disait-on...

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Ecrit par Grezel, a 17:12 dans la rubrique "Divers".


Dimanche (03/11/02)

Test de Personnalité


Je n'ai pas vraiment l'habitude de prêter attention à ce genre d'e-mail lorsque je le reçois, mais ce test me semble suffisant bien fait pour être retransmis.
Préparez un crayon et du papier afin de noter la réponse aux 10 questions qui vont vous être posées sous forme de Q.C.M
Lorsque vous aurez répondu aux questions, comptabilisez votre score en additionnant les points, et référez-vous à la fin pour voir quel profil psychologique vous correspond. Pour ma part, j'ai eu un score de 37. N'hésitez également pas à donner votre propre score en commentaire et à dire si cela correspond bien à la réalité ou pas. A vous maintenant :

1. A quel moment de la journée vous sentez-vous le mieux ?
a. le matin
b. dans la journée et en début de soirée
c. tard le soir

2. Vous avez une démarche :
a. plutôt rapide avec de longues enjambées
b. plutôt rapide avec de petites enjambées rapides
c. moins rapide, la tête haute, regardant le monde dans les yeux
d. moins rapide, la tête baissée
e. très lente

3. Lorsque vous parlez à quelqu'un, vous avez :
a. les bras croisés
b. les mains jointes
c. une main ou les deux sur les hanches
d. touchez ou poussez la personne à qui vous
parlez
e. jouez avec votre oreille, touchez votre menton ou vous vous caressez les cheveux.

4. Lorsque vous vous relaxez, vous êtes assis avec :
a. les genoux serrés avec les jambes l'une à côté de l'autre
b. les jambes croisées
c. les jambes étendues ou raides
d. une jambe croisée sous vous

5. Lorsque quelque chose vous amuse vraiment, vous réagissez par :
a. un grand éclat de rire
b. un éclat de rire mais pas bruyant
c. un rire discret
d. un petit sourire

6. Lors d'une réunion vous :
a. faites une entrée bruyante pour que tout le monde vous remarque
b. faites une entrée discrète en regardant autour de vous pour trouver quelqu'un que vous connaissez
c. faites une entrée des plus discrètes, en essayant de passer inaperçu

7. Vous travaillez très dur, vous êtes très concentré, et vous êtes interrompu. Vous ...
a. accueillez la pause avec plaisir
b. êtes extrêmement irrité
c. êtes contre mauvaise fortune bon coeur

8. Laquelle de ces couleurs préférez-vous ?
a. rouge ou orange
b. noir
c. jaune ou bleu clair
d. vert, bleu foncé ou violet
e. rose ou vert pâle
f. blanc
g. marron ou gris

9. Lorsque vous êtes au lit la nuit, dans les derniers instants avant de vous endormir, vous êtes ...
a. étendu sur le dos
b. étendu sur le ventre
c. sur votre côté favori, légèrement recroquevillé
d. avec un bras sous votre tête
e. avec votre tête sous les couvertures

10. Vous rêvez souvent que vous :
a. êtes en train de tomber
b. êtes en train de vous battre ou de lutter
c. êtes en train de chercher quelque chose ou quelqu'un
d. êtes en train de voler ou de flotter
e. généralement vous avez un sommeil sans rêve
f. vos rêves sont toujours agréables


Points :
1. a)2 b)4 c)6
2. a)6 b)4 c)7 d)2 e)1
3. a)4 b)2 c)5 d)7 e)6
4. a)4 b)6 c)2 d)1
5. a)6 b)4 c)3 d)5 e)2
6. a)6 b)4 c)2
7. a)6 b)2 c)4
8. a)6 b)7 c)5 d)4 e)3 f)2 g)1
9. a)7 b)6 c)4 d)2 e)1
10. a)4 b)2 c)3 d)5 e)6 f)1


Maintenant faites le total de vos points :

Plus de 60 points : Les autres vous voient comme quelqu'un qu'ils doivent prendre avec précaution. Vous êtes perçu comme quelqu'un de vaniteux, égocentrique, et extrêmement autoritaire. Les autres peuvent vous admirer, en espérant vous ressembler, mais ne vous font pas toujours confiance, hésitant à trop s'investir avec vous.

De 51 a 60 points : Les autres vous perçoivent comme quelqu'un de motivant, de très volatile, plutôt impulsif, un leader naturel, rapide pour prendre des décisions, même si elles ne sont pas toujours les bonnes. Ils vous voient comme étant audacieux et aventureux, quelqu'un qui essaie tout au moins une fois, quelqu'un qui tente sa chance et qui aime l'aventure. Ils apprécient être en votre compagnie pour l'intérêt que vous suscitez autour de vous.

De 41 a 50 points : Les autres vous perçoivent comme étant plein d'entrain, vivant, charmant, amusant, pratique et toujours intéressé ; quelqu'un qui est souvent au centre de l'attention, mais suffisamment équilibré pour que ça ne lui monte pas à la tête, quelqu'un d'intelligent. Ils vous voient également comme étant quelqu'un de gentil, généreux courtois et compréhensif ; quelqu'un qui est toujours prêt à leur remonter le moral et à les aider.

De 31 a 40 points : Les autres vous perçoivent comme quelqu'un de raisonnable, attentionné soigneux et pratique. Ils vous voient comme étant intelligent, doué, mais modeste... Pas quelqu'un qui se fait des amis trop vite ou trop facilement, mais quelqu'un d'extrêmement loyal envers les amis qu'il se fait et qui en attend de même en retour. Ceux qui ont la chance de réellement vous connaître se rendent compte qu'il est difficile de chambouler la confiance que vous leur faites, mais aussi qu'il faudra beaucoup de temps pour retrouver cette confiance en cas de trahison.

De 21 a 30 points : Vos amis vous perçoivent comme quelqu'un de minutieux, un peu maniaque. Ils vous voient comme quelqu'un de méticuleux et très prudent, régulier et bosseur. Ils seraient très surpris de vous voir faire quelque chose d'impulsif ou sur un coup de tête, s'attendant à ce que vous examiniez soigneusement chaque chose sous tous les angles avant de prendre une décision. Ils pensent que cette attitude est due en partie à votre nature prudente.

Moins de 21 points : Les gens vous trouvent timide, nerveux et indécis, quelqu'un qui a toujours besoin d'attention, qui a toujours besoin de quelqu'un pour prendre les décisions et qui ne peut s'investir dans rien et avec personne. Ils vous voient comme quelqu'un d'angoissé, qui voit des problèmes partout même là où il n'y en a pas. Certaines personnes vous trouvent même ennuyeux. Seuls ceux qui vous connaissent vraiment savent que vous ne l'êtes pas.

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Ecrit par Grezel, a 00:11 dans la rubrique "Divers".


Vendredi (30/08/02)

Lettre à l'absente


Depuis le début tu étais là. Et pourtant je ne t'avais pas remarquée. Lorsque la réalité est incroyable, on cherche toujours un mensonge plus crédible. Oui, tu étais là, et je ne t'ai pas vue. Je restais plongé dans ma vanité et mon nombrilisme. Moi, moi, moi... Et les autres ? De peur de trouver enfin ce que j'avais toujours si ardemment convoité, je ne cherchais plus. Tu dois te demander de quoi je parle. Mais j'y viens.
Pas de regret, pas de remords, et on se sent plus fort. Plus vide aussi. Comme j'ai eu mal. Rappelle-toi Manon, il pleuvait ce jour-là dans nos coeurs. Puis je t'ai vue. Si belle... Comment peut-on être si belle et ne s'en rendre même pas compte ? Tu étais la fille de l'air et la soeur de mon âme. Alors je t'ai aimée. Chacun de tes sourires était ma raison d'exister, la récompense de tous mes efforts acharnés pour te plaire.
Ai-je échoué ? Je ne le saurai jamais, nous nous sommes trop vite quittés. Puis nous sommes repartis, chacun de son côté, toi d'un pas léger et moi, le dos voûté, comme éreinté par le poids des années. Sans t'avoir jamais possédée, je t'ai perdue. Je revois dans ma tête les scènes du passé qui n'ont jamais eu lieu, et que j'aurais tant aimé partager avec toi. Comment laisser partir l'Amour qui frappe à la porte de notre coeur ? Si j'avais agi différemment, si je t'avais dit ce que je ressentais pour toi, en serait-il autrement désormais ? Le conditionnel, le propre de l'Homme d'imaginer ce qui n'est pas.
Cependant, on sort toujours riche de ce genre de rencontre. Je souhaite devenir meilleur dans l'espoir de te plaire, toi que je ne reverrai plus. Mais ne dit-on pas que le destin réunit toujours les personnes qui s'aiment ? Quoiqu'il en soit, sache que quelqu'un sur Terre gardera toujours ton image au fond de son coeur, toi l'inconnue qui a su me conquérir sans mot dire.

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Ecrit par Grezel, a 23:08 dans la rubrique "Divers".


Vendredi (05/07/02)

La Musique rachète l'Homme


Il existe des chansons qui transmettent en quelques minutes ce que certains romans peinent à faire passer en des centaines de pages. Il existe des chansons qui, en quelques notes, nous racontent une vie passée, avec ses joies, ses peines, et qui résonne en une profonde nostalgie dans le coeur de celui qui a vécu.
Voici quelques-uns de ces morceaux que je ne saurais que trop vous conseiller :

1. B.O Blade Runner (Vangelis) - Memories of Green
2. B.O Blade Runner (Vangelis) - Blues
3. B.O Virgin Suicides (Air) - HighSchool Lover
4. B.O Gladiator (Hanz Zimmer) - Now we are Free
5. B.O Moulin Rouge (Rufus WainWright) - Complainte de la Butte
6. B.O Le Seigneur des Anneaux (Enya) - May it Be
7. No Angel (Dido) - Here with Me
8. This Desert Life (ColorBlind) - Counting Crows
9. White Ladder (David Gray) - This Year's Love
10. Châtelet Les Halles (Florent Pagny) - Châtelet Les Halles
11. Les Chemins de Traverse (Francis Cabrel) - Je l'aime à mourir
12. L'Indispensable (Nino Ferrer) - Le Sud
13. Soledad (Pascal Obispo) - Ce qu'on voit allée Rimbaud
14. Juste Avant (Patrick Bruel) - Elie
15. Fallin' (Alicia Keys) - Fallin'
16. Chansons pour les Pieds (JJ Goldman) - La pluie
17. Mezzanine (Massive Attack) - TearDrop
18. 18 (Moby) - The Great Escape

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Ecrit par Grezel, a 02:07 dans la rubrique "Divers".


Mardi (18/06/02)

Liste de mes connaissances


Voici la liste non-exhaustive de toutes les connaissances qui interviennent à un moment ou à un autre dans mon journal. Les prénoms ont été modifiés, et ne correspondent pas à la réalité.


- Grezel : Moi :o) Je pense qu'il n'est pas la peine de me décrire entièrement, la lecture de mon journal en dit suffisamment long. J'ai 16 ans et je suis en 1ère, et ce journal est le résultat de près de 3 ans d'écriture.
Je ne comptais tout d'abord pas le publier, mais je pense avoir désormais le recul nécessaire pour afficher ma vie passée à d'autres que mes proches.


- Maxime : Mon meilleur ami. Je l'ai toujours plus ou moins su, mais il est difficile de choisir son meilleur ami sur un coup de tête. Nous nous suivons depuis notre plus jeune âge (on devait avoir 4 ans quand nous nous sommes rencontrés) A une certain époque, sa fréquentation était plutôt néfaste car il me rabaissait sans cesse en public et par mon besoin de m'émanciper, j'avais dû l'abandonner pleinement. C'est un leader avec un charisme certain, et il m'a fallu plusieurs années pour me rendre compte que j'étais son égal. Oui, tout au long de ma vie, je n'ai pu m'empêcher d'admirer certaines personnes en pensant qu'elles étaient "différentes".
Bref, désormais, Maxime est une valeur sûre à mes yeux, et lorsque j'ai pu compter mes amis sur les doigts de la main, il y figurait en première place. Toujours...


- Sophie : Trop d'encre a coulé sur son compte. Il fut un temps où elle était ma meilleure amie. Elle est indéniablement belle et intelligente, il fut un temps où je l'admirais profondément, mais je ne sais que dire sur celle qui m'a fait souffrir comme personne auparavant. Et le pire, c'est qu'elle ne l'a jamais su.


- Mélanie : J'ai longtemps été attiré par elle. Elle n'avait pas de ce charisme ou de cette personnalité extravertie qui faisaient la différence, mais plutôt une attitude gauche et timide qui me firent de suite craquer. C'est un genre de fille qu'on ne remarque pas quand on la croise, mais à laquelle on pense à coup sûr après coup.


- Sam : Tout au long du collège, mon avis sur lui changea du tout au tout. Un coup il était l'épaule sur qui on pouvait s'appuyer, un coup le défenseur des injustices, mais son évolution ne se fit pas à mon profit. J'ai encore le sentiment qu'il me prit ma meilleure amie lorsque j'en avais le plus besoin.


- Sandrine : Ah, que dire sur elle ? Elle a beaucoup évolué, c'est certain. Mon estime pour elle ne fit qu'évoluer tout au long de ma scolarité. Elle a été parfois là lorsque j'en avais besoin, et je lui suis redevable pour cela.


- Bruno : Un bon ami. Sûrement le meilleur d'ailleurs en 6ème. Je trouvai en lui beaucoup (trop ?) de points communs avec moi. C'est en le voyant que je me vis tel que j'étais vraiment pour la première fois : introverti, timide, maladroit... Et ce fut le déclencheur de ma prise de conscience qu'il fallait absolument que je change... Mon épanouissement fut la plus belle victoire sur moi-même.

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Ecrit par Grezel, a 23:06 dans la rubrique "Divers".


Petit sondage pour prendre la température !


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Ecrit par Grezel, a 17:06 dans la rubrique "Divers".


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